Category Archives: Mon Histoire

K S T ?

Bonjour,

J’ai utilisé dans ma longue vie, à titre personnel et dans mes consultations une thérapie originale, efficace et appréciée par les patients qui me consultaient pour différents problèmes. Il y a dans cette thérapie un côté ludique qui permet de toucher la sensibilité d’une personne par le contact avec son enfant intérieur, j’ai souvent envie d’écrire inté-rieur ( J’ai dèjà écrit des articles à propos de ce concept que j’ai toujours exploité, ayant gardé en moi des mémoires précises de mon enfance ).

K S T sont les abréviations de ce concept : la Kinder Surprise Thérapie !

Si vous êtes choqué, ne continuez pas la lecture ! Si vous êtes curieux ou curieuses d’en savoir plus, je vous l’explique ci-dessous !

Imaginez-vous une questionnement, un souci, une maladie qui vous inquiète, je vous propose alors de choisir un oeuf en chocolat appelé Kinder surprise !

La personne concernée, si elle accepte choisit un oeuf et je lui propose de verbaliser sa problèmatique avant de l’ouvrir pour y trouver des éléments de réponse. Souvent une appréhension se manifeste et je gère la situation avec mon humour médical.

Dans un second temps, la personne déballe l’oeuf et retire l’emballage avant de découvrir la grosse gélule jaune qui contient une figurine, ou un petit jeu ou . . . une surprise.

Je propose alors à la personne de m’exprimer ce qu’elle voit ou ce qu’elle comprend de façon symbolique dans sa découverte !

J’ai été très souvent amusé et stupéfait d’observer les réactions positives, neutres ou même négatives ( très rarement ).

Je ne peux que vous conseiller de faire cette expérience pour vous-même ou pour des proches et vous comprendrez alors tous les bienfaits de ce  » test  » et le plaisir de déguster cette coquille de chocolat révèlatrice de secrets enfouis au plus profond de vos mémoires.

Pas plus d’un oeuf à la fois car cela révèlerait un penchant pour la Gourmandise !

Jacques

Les blessures de l’âme !

Bonjour,

Vous consultez mon blogue pour savoir comment bien vivre en santé et c’est la raison d’être de ce blogue qui dépasse à ce jour plus de 1000 articles. Celui-ci est une première. En effet j’ai abordé beaucoup de sujets et celui-ci est nouveau !

Tout le monde connait les blessures physiques pour les avoir expérimentées. D’autres connaissent les blessures émotionnelles pour les mêmes raisons ainsi que les blessures psychologiques.

Aujourd’hui nous allons franchir un grand pas pour parler des blessures de l’ÂME ! ! !

L’âme ou conscience ou tout autre mot qui vous convient, ne se situe pas dans le corps physique, ni dans le cerveau, ni dans la pensée. Le véhicule physique tout comme une voiture ou un bateau ou un avion fonctionne grâce à une partie appelée le chauffeur, le marin ou le pilote et pour le corps c’est l’âme qui tient le volant ou la barre ou le palonnier.

Avez-vous déjà vu une âme ? Non et moi non plus car elle existe au-delà des limites de notre humanité !  » Science sans conscience n’est que ruine de l’âme !  » Cette citation n’est pas de moi et je l’aime bien.

Pour avoir pendant plus de 60 ans rencontré et offert mes soins à de nombreuses personnes, j’ai eu la chance de comprendre et de réaliser que les blessures de l’âme avaient des conséquences sur le physique, l’émotionnel et même l’intelligence ( qui ne peut et ne sera jamais artificielle, n’étant tout au plus qu’une autre erreur humaine !)

Dans une relation humaine et surtout dans le domaine de la santé physique et psychologique, il existe des limites qui parfois sont transcendées et nous permettent de comprendre et d’agir au niveau de l’âme !

Les blessures de l’âme sont rencontrées lorsque les deux personnes sont envahies par un état particulier qui s’ouvre dans une relation humaine, au-delà de la vie ordinaire. Les évènements sont alors relégués dans un arrière plan et la relation entre dans une autre dimension qui est le domaine de l’âme ! État trés particulier qui fait que les deux personnes sont dans un nouveau niveau de communication et de compréhension. Un autre mode de communication s’ouvre et les échanges deviennent plus précis et plus révélateurs.

Les blessures apparraissent alors avec une évidence nouvelle, offrant ainsi une toute autre palette de communication et de compréhension. Il peut y avoir des mots, parfois des silences riches de cette communication d’âme à âme .

L’effet et les résultats apparraissent sans intervention du mental ni du raisonement, les mots ne sont plus utiles, bien au contraire. La magie opère sans se dévoiler, il suffit de l’accepter, il n’y a plus que le résultat qui compte. Tout discours ou interprétation ne sont que leurres d’un mental !

Le résultat est tout simplement la confirmation que la mise en relation a permis de passer de l’ignorance à la compréhension des blessures et de facto à la guérison !

Non, ce n’est pas un  » miracle « , cela fait partie d’une attitude ou l’empathie, le respect, et la confiance exercent tous leurs pouvoirs !

Les blessures de l’âme peuvent guérir dans une simple relation avec soi-même ou dans une inter-action avec une autre personne, un lieu ou un évènement particulier.

Les ayant toutes expérimentées, j’ai choisi de vous écrire ce témoignage pour vous permettre de Guérir votre Âme, si vous le voulez, bien sur !

Pensez-y profondément !

Jacques

Le pouvoir de la Pensée

Bonjour,

Prenons l’exemple d’une automobile :

C’est l’homme qui construit la voiture, qui extrait le pétrole (énergie) et qui conduit la voiture.

De même, c’est l’esprit (pensée) qui construit, nourrit et entretient le corps. donc la pensée crée !

Or il y a deux sortes de pensées : la pensée positive et la pensée négative.

Au niveau de l’énergie, la pensée négative bloque l’énergie et la pensée positive libère l’énergie.

Au niveau de la fonction, la pensée négative perturbe la fonction et la pensée positive régularise la fonction.

Au niveau des lésions des organes du corps, la pensée négative crée les lésions et la pensée positive les harmonisent.

Au niveau de la maladie, la pensée négative détruit et la pensée positive guérit !

En conclusion, selon l’état et la qualité de nos pensées, nous pouvons détruire notre corps ou le guérir. c’est une affirmation puissante et tout à fait concrète. Ce n’est pas une vue de l’esprit car je l’ai constaté pendant soixantes années de Médecine et je l’ai aussi expérimenté sur mon propre corps – charité bien ordonnée commence par soi-même !

Pensez-y bien, il en va de votre santé pour bien vivre en santé ou mourrir malade !

C’est aussi toute la mission de ce blogue qui en est à ses douze ans d’existence.

Ambroise Paré disait : Je le soignais, Dieu le guérit ! Dieu est un concept qui englobe notre âme et donc notre pensée .

Jacques

Forêt en hiver au Canada

Bonjour,

Il y a 34 ans j’avais écrit ce texte, or nous sommes en pleine tempête et le voici :

Marchant dans le silence, sur l’épais manteau blanc,

Qui recouvre le sol jusqu’au seuil du printemps,

Je peux sentir la Vie, qui grouille et qui respire,

En respectant la loi, que le froid fait venir.

Les grands arbres gelés, et les buissons cachés,

Sans faire un mouvement, restent fièrement dressés.

Sans en avoir conscience, mais tout en le sachant,

Ils attendent patiemment, un temps plus réchauffant.

Malgré le froid qui pince, j’entends j’en suis surpris,

Dans les arbres qui grincent, des chants, des gazouillis.

Profitant du soleil, de minuscules oiseaux,

Envoient à mes oreilles , de joyeux trémolos.

Une piste apparait, au détour du chemin,

Qui trahit le passage, d’un quelconque lapin.

Et des traces plus petites, se révèlent à mon oeil,

Indiquant la présence, d’un petit écureuil !

11 Janvier 1991

Jacques

Aujourd’hui c’est la Saint Valentin.

Bonjour,

J’ai dèjà écrit plusieurs articles sur la Saint Valentin, que vous pouvez retrouver en cliquant sur la petite fenêtre en haut et à droite de l’écran.

Or ce matin 14 février 2025, c’est précisément la saint Valentin, la fête des amoureux ou aussi la fête des amoureux heureux (imaginez deux petits coeurs souriant).

C’est un grand jour, car c’est le jour de l’Amour et des Amoureuses et des Amoureux. Je crois que si toutes les femmes et tous les hommes osaient respecter l’Amour dans toute sa grandeur, il n’y aurait plus de guerres, plus de meurtres, plus de violences, plus de mensonges, plus de tricheurs, plus de voleurs, plus de criminels, plus de dictateurs et plus de détraqués avides de pouvoir factice et d’appât du gain. ( vous les reconnaitrez !).

Ceci étant dit, il n’existe qu’un seul Amour, l’Amour inconditionnel ( oubliez les : Je t’aime, si ! ).

L’Amour donne, il ne prend pas, l’Amour pardonne, il ne condamne pas, l’Amour n’est pas vénal, il ne s’achète pas, l’Amour existe, il est présent, il est cadeau, l’Amour enrichit la Vie et les vies et la saint Valentin devrait être un jour de congé pour pouvoir s’aimer davantage et enfin l’Amour commence par l’Amour de soi, de son corps de son être et de sa Vie.

 » Aimes ton prochain comme toi-même ! « 

Dans le mot Amour il y a le mot Âme, cette partie de nous qui habite et donne vie à notre corps physique, alors en aimant et en vous aimant votre corps restera en bonne santé jusqu’à la fin de vos jours !

Pensez-y bien,

Jaques

Temps de compréhension !

Bonjour,

À l’approche de ma dixième décade, je viens seulement de comprendre les mots de ma défunte mère :  » Sois sage ! « .

Surement pas, je n’avais qu’un but, m’amuser, jouer, rire faire des bêtises, courrir dans le jardin, aller voir les poules et les lapins au fond du jardin qui était trés grand pour mes petites jambes, je profitais de la Vie à 100 % et mes oreilles entendaient comme un refrain :  » Sois sage !  » et ça rentrait par une oreille et sortait rapidement par l’autre pour continuer à faire des bêtises.

Évidemment à cette époque, je n’avais pas compris que j’avais une maman visionnaire, et maintenant je saisis les mots que mon jeune âge ne pouvaient pas comprendre. Ma grand-mère et mon grand-père chez qui nous habitions me regardaient aller avec un sourire complice, alors pour leur faire plaisir, je faisais des bêtises !

Du haut du ciel Maman doit sourire en se disant qu’elle avait bien raison de me donner ces bons conseils que je commence à peine à mettre en pratique, oui, je suis devenu sage même s’il m’arrive encore de faire des petites bêtises, simplement parce que cela m’amuse encore. Il faut faire des bêtises pour vieillir moins vite et je serais vieux, après ma mort et je ne ferais plus de bêtises, quoique ? J’ai entendu dire que des personnes décèdées jouaient des tours à celles restées, hum, intéressant !

La Vie est belle, un film que je conseille à tous, parce que réussir à faire rire des camps de concentrations nazis, Roberto Benigni, en 1997 a réussi cet exploit. J’ai adoré ce film parce que je m’y suis retrouvé.

Je suis devenu sage ( un peu seulement ) et je fais faire les bêtises par mon enfant intérieur et mon apparence extérieure ne peut me faire accuser des méfaits de mon tendre alter égo, j’ai eu tellement de peine à croiser des personnes sans sourires et sans ironie qui ne comprenaient pas ma vision de la Vie. Heureusement, la Vie elle, m’a bien accompagné et m’accompagne encore et quand je fais une bêtise, personne ne va penser que l’idée a germé sous mes cheveux couleur argentée, car contrairement aux autres personnes, je n’ai pas de cheveux blancs, çà c’est pour les vieux ou les vieilles personnes.

J’ai donc compris que Maman me voyait devenir sage et qu’elle a attendu de longues années pour enfin remarquer que ses instructions se réalisaient, juste avant sa mort.

Maintenant que je suis devenu sage en apparence, mon complice intérieur me régale de ses fantaisies et de ses idées saugrenues et nous rions ensemble, discrètement car il y a encore des personnes qui ne connaissent pas leur enfant intérieur, cette âme d’enfant qui est simplement l’âme qui ne vieillit jamais et qui m’emportera dans un sourire au jour choisi, encore lointain.

Voilà !

Jacques

Les sentiers du Grâal

Bonjour,

Sous le regard bienveillant, du hibou un peu méfiant,

Je pénètre assez confiant, dans ce bois et ses tourments,

Je m’avance prudemment, parmi ces obstacles et ces pièges,

Que j’observe attentivement, et que pour une fois j’assiège.

Et, débarrassé du chien, qui cachait le forgeron,

Je prends au creux de ma main, la clé de cette prison,

N’écoutant que mon courage, auprès de l’homme sans visage,

J’accepte de tourner la page, de modifier mon image.

Je traverse le fleuve noir, par les soins du nautonnier,

Et je vois briller l’espoir, de pouvoir me retrouver,

De cet arbre lumineux, qui me cache la forêt,

Vite je détourne les yeux, pour ne pas m’y arrêter.

Et le cerf majestueux, au panache merveilleux,

Du château aussi précieux, vient pour m’indiquer le lieu,

C’est alors que le miroir, me retournant mon reflet,

Pour une fois me fait voir, que c’est moi que je cherchais.

Je reçois du Roi-pêcheur, cette belle pierre verte,

Qui pourra guérir mon coeur, et m’arrêter dans ma perte,

Et pour avoir tant marché, me voici récompensé,

Après avoir tant cherché, j’ai trouvé la liberté.

Je me suis forgé la clé, pour me désemprisonner,

De l’illusion insensée, qui masquait la VÉRITÉ !

Jacques

À TOI FEMME !

BONJOUR,

Toi, tu es tout pour moi, la mère offrant son ventre,

La femme offrant son toit, préparant ma naissance,

Au fond de tes entrailles, s’est niché mon essence,

Et de mes épousailles, c’est toi qui est le centre.

Mes premières amours, et mes premiers combats,

C’est tout au fond de toi, que cela se passa,

Et dans le réconfort, de ta douce chaleur,

Je faisais de ton corps, le lit de mon bonheur.

Luttant pour me garder, et moi pour m’en aller,

Tu mettais tout en oeuvre, pour pouvoir accoucher,

Et quand ce fut mon heure, d’enfin me décrocher,

Tu as ouvert ton coeur, tu t’es laissée aller.

Sitôt quitté ton ventre, j’ai rencontré ta peau,

Sur la mienne j’ai senti, l’air de ton souffle chaud,

Pendant que le cordon, qui encore nous liait,

Assurait ma survie, car il me nourrissait.

Puis comme une madonne, qui ne refuse rien,

Voilà que tu me donnes, la pointe de ton sein,

Et tu donnes de ta vie, pour assurer la mienne,

Et ce lait que tu fis, fût un bonheur suprême.

D’une main bienveillante, tu guides mes premiers pas,

Une douceur acceuillante, quand tu ouvres tes bras,

Et toute mon enfance, passée auprès de toi,

Comme mon adolescence, cela ne s’oublie pas.

Puis tu deviens la femme, sujet de mon désir,

Je te déclare ma flamme, l’envie de nous unir,

De créer un foyer, pour encore répéter,

Cette si belle histoire, qui nous a enfantés.

À ton tour tu seras, la mère de nos enfants,

Tu prendras dans tes bras, ces visages souriants,

Tu les élèveras, leur donnant plein d’amour,

Et tu les lâcheras, pour qu’ils t’aiment toujours.

Au soir de notre vie, tu deviens ma compagne,

Allumant la bougie, le soir à la campagne,

Tu veilles sur mon départ, avec la même douceur,

Que malgré le cafard, tu gardes dans ton coeur.

Le 4 JANVIER 1992

Jacques

ÉCRIRE !

Bonjour,

Pour ce premier jour de l’année 2025, Je vous offre ce petit poème ainsi que tous mes voeux pour les 365 jours à venir !

Prendre la plume,

Une feuille de papier,

Laisser les doigts,

Tracer sur la page blanche,

Les lettres et les mots,

Les idées et les phrases,

Qui coulent de mes pensées,

Se bousculent et se pressent,

Afin d’être exprimées.

Décrire une vision,

Dépeindre une émotion,

Ou choisir ce moyen,

Pour pouvoir à loisir,

Partager une sensation,

C’est comme une musique,

Ou comme un instrument,

Ces mots qui se fabriquent,

Comme souffle le vent !

11 Octobre 1991

Jacques

Le jour se lève

Bonjour,

Le soleil radieux pointe à l’horizon ; après une longue nuit, le jour se lève, et dans le ciel bleu un petit nuage se pare des couleurs du soleil levant pour laisser éclater sa joie.

Dans la noirceur de la nuit sans lune, le petit nuage paraissait bien isolé, mais là, resplendissant de jaune et de rose sur le fond de ciel bleu, il devient important, on le regarde, on ne voit que lui, comme il n’est pas effrayant, on le flatte, on l’apprécie, on lui sourit, et il est heureux !

L’arrivée des chauds rayons du soleil le fait briller au point d’éclipser le bleu du ciel, mais il reste ce petit nuage tranquille bercé par le murmure du vent dans les feuilles des arbres.

Toujours présent et inaccessible, à l’abri du stress et des maléfices de l’homme, c’est peut-être cela que l’on appelle le PARADIS !

Jacques 28 Janvier 1988