PARTIR EN VOYAGE !

Bonjour, ou bon voyage !
Nous avons envie de voir du paysage et nous allons penser à partir en voyage.
Dans un premier temps nous cherchons notre destination puis le moyen d’effectuer ce voyage, et les moyens financiers pour le concrétiser.
Choisir les dates dans le temps qui nous est favorable en fonction du travail et aussi des conditions météorologiques.
Préparer les bagages et les équipements nécessaires au type de voyage envisagé.
Ensuite nous mettons notre projet à exécution, il devient une réalité et nous sommes dans l’action avec tous les aléas possibles, que nous les ayons prévus ou pas.
Arrivés à destination, nous profitons pleinement de ce séjour, des conditions différentes qu’il nous offre, des rencontres possibles et des belles émotions que nous ressentons.
Arrivés au terme de notre séjour, nous reprenons nos bagages pour le chemin du retour vers la maison.
Les bagages déposés et rangés, nous avons encore en nous le coeur plein de souvenirs de ces bons moments et nous avons le plaisir de les revivre dans notre mémoire.
Voilà ce que nous sommes capables de vivre en partant en voyage…
Et si la Vie était un voyage ?
Avons nous pris toutes les précautions et tous les renseignements pour bien vivre en santé ?
Prenez le temps d’y réfléchir et de voir ce que vous pouvez changer dans votre attitude pour que votre voyage soit des plus agréable…
Et n’oubliez pas qu’il faut rêver sa Vie avant de pouvoir vivre ses Rêves !
Jacques

UN AUTRE LIVRE : LA PSYCHOLOGIE DU TRANSFERT

Bonjour,

Un livre de Carl JUNG dont le titre peut sembler rébarbatif a premiére vue et qui d’une part m’a beaucoup surpris, m’a beaucoup intéressé et au final m’a apporté beaucoup dans ma vie.
Ayant a faire un résumé au cours d’une formation, je me lançais ( en 1991 ! ) dans la lecture avec un peu d’hésitation tant le sujet me semblait ardu.
Trés vite, je fus surpris de constater que JUNG utilisait dans ce livre une comparaison avec une science hermétique, l’Alchimie !
Une autre découverte pour moi qui n’avait que des notions obscures sur le travail de ces chercheurs de la conscience et dont j’étais persuadé que leur seul but était de transformer le plomb en or pour s’enrichir !
Je découvris ainsi deux concepts trés particuliers qui dans les faits s’expliquaient l’un et l’autre en dévoilant le monde fabuleux des symboles, de l’inconscient et des archétypes…
Si ces deux sujets vous intéressent, je vous recommande vivement la lecture de cet ouvrage écrit par celui qui a su élargir les conceptions étroites de Sigmund FREUD et les adapter a notre monde moderne en les rendant plus compréhensibles, encore une fois l’éléve a dépassé le maitre !
Le travail de l’alchimie accompagné par un psychanaliste permet de découvrir la Pierre Philosophale dans l’être humain, mais elle ne peut être décelée et intégrée directement, il lui faut le détour de la projection dans une approche globale.
C’est en fait la vision holistique de la nature de l’homme ….
Je souhaite vous avoir donné l’envie de lire ce livre avec le même plaisir que je l’ai fait,
Bien a vous,
Jacques

SAINT VALENTIN 2 0 1 4

Bonjour et bonne Saint Valentin !
L’an passé j’ai écrit un article sur Saint Valentin et ses origines et je ne savais pas si ce blog serait encore actif un an plus tard, et voici que de nouveau nous sommes aujourd’hui le 14 Février, la fête des amoureux…
Tout d’abord les amoureux de la Vie car si nous n’aimons pas notre vie, nous ne pouvons aimer personne d’autre sincèrement, en surface, oui, en apparence, oui ou même  » à notre façon « ! mais ce n’est pas de l’Amour.
L’amour est ou il n’est pas, il ne se décline pas et ne supporte ni exceptions ni nuances.
Heureusement il existe des personnes qui s’aiment d’amour, qui n’ont besoin ni d’artifices ni de grandes démonstrations, ni de lois ni de religions pour s’aimer…
L’Amour est une énergie, c’est la seule énergie qui existe dans l’Univers et qui fait marcher le monde, l’absence d’Amour est la Peur qui engendre la guerre.
Il y a tellement de personnes sur terre qui meurent d’Amour ou plutot de manque d’Amour…
Je propose en cette fête particulière de méditer sur toutes ces personnes qui méritent amplement d’en recvoir et de leur offrir votre AMOUR…
Pas de l’argent, pas de bijoux mais des fleurs et des pensées d’Amour inconditionnel, cet amour qui tout comme un parfum que l’on porte sur soi embaume et ravit l’odorat des personnes que nous croisons.
Rayonnez l’Amour tout autour de vous pour cette belle journée et ensuite continuez jusqu’à l’année prochaine ( si, si, c’est possible !)

Ami(e), proche ou lointain,
Montres-moi ton sourire,
Oses te découvrir,
Un regard si coquin,
Remplira mon coeur, de bonheur….
JACQUES

LA CHRONOBIOLOGIE

Bonjour,
Un mot qui semble bien compliqué et pourtant tous nos appareils électroniques ont des réglages pour la durée d’utilisation, le début et la fin etc….
Notre corps a lui aussi des systèmes trés sophistiqués dans son fonctionnement : il y a des rythmes comme le jour et la nuit, des périodes particulières comme la digestion et tout un tas de contrôle de respiration, pression, taux de sucre, hormones, ovulation, grossesse et bien d’autres encore…
La chronobiologie est une science qui décortique tous ces paramètres afin de mieux comprendre le fonctionnement du corps, et cela c’est l’affaire des spécialistes de cette science.

Ce qui est bon de savoir pour nous, c’est d’apprendre à respecter les rythmes du corps car dans le cas contraire nous créons des conditions propices aux maladies et nous ne pouvons plus bien vivre en santé. Et c’est bien dommage !
Par exemple le sommeil a des horaires précis et si nous passons le bon moment il devient difficle de s’endormir !
La sieste dans les pays chaud est indispensable pour permettre une digestion efficace.
Les horaires de travail doivent aussi respecter certaines conditions.
Nous possèdons dans notre cerveau des glandes et des systèmes régulateurs trés précis, comme l’hypophyse et l’épiphyse, le thalamus et l’hypothalamus.
Une vie règulière, alternant les périodes de travail et de repos nous permettra de bien vivre en santé bien plus longtemps.
Je vous propose d’essayer de découvrir quels sont les rythmes et les choix de vie qui sont favorables à votre corps, c’est un défi payant à long terme !
Bonne journée,
Jacques

PPREMIER FÉVRIER 1992…et les jours suivants.

Bonjour,
Je me suis réveillé de cette nuit spéciale calme et détendu et content d’être encore en vie, l’acceptation m’avait libéré de mon angoisse, l’infirmière s’est bien occupé de moi et j’avais encore à l’esprit ce qui dans mes rêves ou mon inconscient avait habité mes pensées, sensations ou imaginations, peu importe, je me suis vu devant deux êtres d’énergie évoquant pour moi Jésus et Bouddha (!) qui me demandaient si je voulais guérir rapidement, quelle question, qui subitement me menait vers une négotiation :  » Oui, je veux bien, mais pas trop vite car je ne veux pas avoir à faire à la télévision et aux journalistes ! « .
Par la suite je me suis trouvé bien « gonflé  » d’avoir ainsi discuté de ce cadeau qui m’était proposé par deux êtres plein de magnificence et de bonté !.
Mon mental n’était pas capable d’accepter une guérison quasi instantanée telle que cela m’était offert.
La suite m’a prouvé que les promesses n’étaient pas des paroles en l’air et la guérison de mon accident fut telle qu’à la veille de ma sortie, le chirurgien qui faisait mon plâtre s’est tourné vers moi et m’a dit :  » Je ne sais pas ce qui se passe, mais il y en a un de nous deux qui va à la bonne église !  »
Je n’ai pas eu le courage de lui avouer que le 27 janvier je m’étais procuré les 4 cassettes de  » La guérison spirituelle  » enregistrée par Patrick Drouot et que je les écoutais assidument pour mettre toutes les chances de mon coté. Je ne lui ai pas dit non plus que ce même jour du 27 janvier, une partenaire d’un exercice de relaxation m’avait demandé si j’avais quelque chose au genou gauche, et que le 30 janvier une dame de Montréal qui examinait au microscope une goutte de mon sang m’a parlé d’un problème au genou gauche !…
C’est comme si dans l’énergie qui nous entoure l’information de mon accident était déjà présente !
 » Ce ne sont pas les évènements qui comptent, mais la façon dont nous les vivons !  » cette phrase d’Épictète m’est revenue à l’esprit et j’ai compris l’importance de notre attitude face à la maladie et même, oui même face aux accidents…
Après l’accident de mon fils en 1978 et le mien en 1992 à la même jambe j’ai pu créer des liens et ouvrir des compréhensions nouvelles dans ma vie et dans ma pratique médicale,
Je vous en reparlerais à une autre occasion,
Jacques

PREMIER FÉVRIER 1992 ( 4 )

Bonjour,
La première nuit après l’opération a été passée dans une chambre commune un peu bruyante et le lendemain je fus transféré dans une chambre à deux lits, plus calme.
Avec le froid sur le lieu de l’accident et l’opération mon pied et ma cuisse avaient triplé de volume, au cours du pansement je pus apercevoir les orteils de mon pied gauche qui pointaient vers le ciel séparés les uns des autres de deux bons centimètres et certaines parties de la peau qui suintait abondamment présentaient des aspects noirâtres.
Dans la soirée je commençais à craindre l’apparition de la gangrène que je connaissais bien pour l’avoir rencontrée plusieurs fois chez des patients lorsque j’étais en France.
A un passage de l’infirmière de nuit, sans lui révèler mes sinistres pensées, je lui demandais si elle pouvait vérifier l’état de mon pied, elle sortit alors sa lampe électrique pour examiner mon pied et me dire gentillement :  » Tout va bien ! « . Je la remerciais et je restais angoissé à l’idée possible d’une septicémie et les pensées les plus sombres occupaient mon esprit jusqu’à un prochain passage de l’infirmière et cette fois-ci je me hasardais à lui demander si elle ne voyait pas de signes de gangrène… Toujours aussi gentiment, elle sortit sa lampe de poche et examina scrupuleusement mon pied, puis elle éteignit sa lampe et me dit calmement :  » Non, je ne vois rien !  » Dè que je lui ai dit :  » Merci !  » toutes mes craintes disparurent et je pus m’endormir.
La journée qui a suivi j’ai observé mon pied et je n’en menais pas large ( alors que lui l’était…large !).
Le soir venu je m’endormis avec la conviction profonde que si je devais mourir, j’acceptais cette issue sereinement.
Je ne sais pas ce qui s’est passé dans la chambre cette nuit là ? Je sais simplement que je me suis réveillé dans un lit tout propre et que l’infirmière de jour m’a fait comprendre que sa collègue avait eu beucoup de besogne avec moi…
Ce que je sais c’est ce qui s’est passé dans mon esprit pendant ce temps et je vous en parle la prochaine fois,
Jacques

PREMIER FÉVRIER 1 9 9 2 ( 3 )

Bonjour,
L’ambulance se met en route pour Moncton avec à son bord, les deux blessés de la veille et deux infirmières, toujours dans des conditions de tempête car il est tombé un mètre quatre vingt de neige durant la fin de semaine.
Le voyage a donc été mouvementé et assez long, mais j’avais reçu une autre dose de potion magique et je ne souffrais pas, au contraire, je passais mon temps à monter et démonter des boites de cartons et lorsque j’ouvrais les yeux, il n’y avait plus de boites et elles réapparaissaient dès que je refermais les yeux.
J’ai bien essayé de prévenir l’infirmière qui était tournée vers l’autre patient ( impatient ) et je n’arrivais pas à la toucher pour attirer son attention.
Ceci m’a valu un bon fou-rire quand j’ai revu l’autre infirmière qui m’a raconté avoir bien rigolé car elle croyait que je cherchais à attraper les fesses de sa collègue… loin de moi cette idée, mais j’ai bien ri ( Ce ne sont pas les évènements qui comptent, mais la façon dont nous les vivons ! ).
Le trajet nous a conduit à l’hôpital Georges Dumont de Moncton ou je fus acueilli par le chirurgien auquel j’ai demandé :  » Vas-tu me placer une broche ou des plaques et des vis ? »
Il m’a fait un grand sourire et m’a répondu ;  » Je vais d’abord te faire une traction trans-calcanéenne ! »
Comprenez : enfiler un crochet dans l’os du talon pour pouvoir y accrocher des poids d’environ 5 à 6 kilos afin de tirer sur les fragment osseux pour pouvoir les remettre en bonne place.
Mon dimanche soir s’est donc passé au bloc opératoire et encore avec des substances bizarres,
À suivre…
Jacques

PREMIER FÉVRIER 1 9 9 2 ( 2 )

Bonjour,
Je suis donc assis dans la neige avec mon  » bon samaritain  » en attendant l’ambulance qui conduisait l’autre blessé à l’hôpital distant d’un dizaine de kilomètres et en pleine tempête de neige.
Le temps s’est arrêté pour moi sur ce confort chaleureux (dans tous les sens du terme ) et il a bien pu s’écouler de trente à quarante cinq minutes avant de voir arriver l’ambulance et les ambulanciers que je connaissais et qui m’ont abordé avec le sourire en me disant :  » Bon, maintenant c’est à notre tour de te soigner ! « …
Cette phrase et le ton sur laquelle elle a été prononcée a eu sur moi un effet de gratitude qui m’a réjoui et je leur ai expliqué que j’avais redressé ma jambe et calé les morceaux avec de la neige, ce qui les a bien fait rire. Il m’ont placé une attelle, allongé sur le brancard et enfourné dans l’ambulance pour me conduire à l’hôpital à mon tour.
Dans la salle d’urgence, le médecin qui m’a accueilli m’a demandé si j’avais mal, je lui ai répondu :  » Non, j’ai froid !  »
En effet, j’étais en hypothermie et je ne ressentais aucune douleur, le froid insensibilise les nerfs conduisant les sensations de douleur et je suis donc resté en hypervigilance pendant tout ce temps ( Il faut être trés vigilant pour bien vivre en santé ! ).
Les infirmières m’ont apporté une couverture chauffante, le radiologue m’a passé une radiographie pour m’annoncer que j’avais une double fracture ouverte, ce qui ne m’a guère surpris mais confirmait mon excellent diagnostic.
La suite a été oblitérée de ma mémoire car la prescription de succédanés de la morphine ( ou mort fine, j’ai oublié l’orthographe..) ont conduit ma conscience dans des états non ordinaires pendant plus de 20 heures.
Donc le dimanche 2 Février, j’ai refait surface pour apprendre que j’allais être transféré à Moncton ( 250 km )….
À suivre …
Jacques

PREMIER FÉVRIER 1 9 9 2 ( 1 )

Bonjour,
Il y a bientôt 22 ans j’ai eu ou fait un accident lors d’une tempête de neige.
Après un mois de janvier ayant connu un froid intense, je me suis rendu à mon bureau le samedi matin pour un rendez-vous.
Le temps était couvert et le vent commençait à souffler. Sitôt le traitement terminé, j’ai repris le chemin de la maison distante de 3 km, la neige et le vent créaient des conditions de poudrerie et la visibilité était limitée à tel point que mon véhicule s’est immobilisé dans une congère.
Je suis allé emprunter une pelle à une maison voisine et j’ai dégagé mon auto. C’est à ce moment-là que j’ai aperçu un autre véhicule qui avançait dans ma direction, je me suis avancé en lui faisant des signes pour éviter qu’il ne heurte ma voiture encore au milieu de la route.
Le chauffeur ne m’a pas vu, m’a catapulté dans les airs et je suis retombé sur la route au moment ou sa voiture entrait en collision avec la mienne, coinçant ainsi ma jambe gauche entre les deux pare-chocs. Je me suis retrouvé assis par terre dans la neige avec ma jambe gauche pliée à 90 degrés au niveau du tiers inférieur, le genou déboité et j’ai pris ma chaussure entre mes mains pour replacer mon pied dans l’axe de la jambe, j’ai alors senti dans ma chaussure l’impression de tenir un sac de cacahouètes….
Devant l’évidence des faits, je me suis dit :  » Je viens d’avoir un accident, maintenant je dois commencer à me concentrer sur la guérison et me préparer à aller à l’hôpital !  »
Un policier est arrivé, m’a expliqué que l’ambulance était déja partie pour un autre accident à l’autre bout de la rue.
Il s’est alors assis à coté de moi, a entre-ouvert son manteau pour me réchauffer et là j’ai vécu un instant de bonheur intense en pensant :  » Quel beau geste ! « ….. À suivre…
Jacques

TEMPÊTE DE NEIGE

Hiver canadien

Neige sur le toit


Bonjour,
Comme le démontre si bien la photo, la neige est abondante au Canada, il n’y a pas de crise de ce coté là !
Cela fait partie des joies de l’hiver, une bonne tempête de neige, tout est fermé et c’est une bonne opportunité pour faire des choses à l’intérieur de la maison. Quand la tempête est terminée, le soleil revient et nous pouvons reprendre les activités extérieures : raquette, ski de fond, patinage et autre motoneige. En fait, l’hiver est une belle saison surtout que les maringouins sont absents…
C’est aussi le temps de réaliser la force de la nature, d’accepter ses colères et ses débordements et tout doucement, nous voyons poindre l’aspect symbolique des choses et des évènements.
Dans notre nature intérieure il y a parfois des tempêtes d’émotions et tout comme la neige, nous devons les accepter en attendant le retour du soleil, le retour au calme intérieur, c’est une grande leçon car notre vie au rythme trépidant ne voudrait pas nous donner des jours de repos « illégaux ».
Le retour à la nature nous incite à retourner vers notre vraie nature, vers ce que nous sommes vraiment en dessous de la couche au vernis craquelé de nos apparences, au-delà de ce monde ou les yeux se croient tout puissants, oubliant que nous avons un coeur qui bat, qui vibre et qui prend des décisions (le fameux coup de coeur !).
Regardez bien la photo, imaginez le volume et le poids d’émotions que cela peut représenter, et réalisez que le soleil fait tout fondre en quelques heures.
Donnez-vous le temps nécessaire pour que le soleil vous débarasse de vos émotions négatives…
Jacques