Mon Mal m’a dit !

Bonjour,

Encore un poème écrit il y a 35 ans !

Mon mal m’a dit, je t’avais prévenu,

Ma maladie, je l’avais attendue,

Plus d’une fois, J’ai fait la sourde oreille,

Il est grand temps que je m’éveille.

Gentiment et souvent, je ressentais comme un appel,

Patiemment et lentement, se répétait la nouvelle.

Mais je n’ai pas voulu le voir, je n’ai pas voulu le croire.

Que j’écoute enfin mon coeur, pour bien stopper cette histoire.

Ordonner mes pensées et pratiquer l’oubli,

Oublier de juger, et pardonner autrui,

Voilà un beau programme, il faut que je m’y mette.,

Pour pouvoir plus d’une fois, profiter de ma fête !

Jacques

Libération du temps et de l’espace ?

Bonjour,

Nous vivons dans un espace-temps qui semble nous emprisonner, et pour nous libérer de cette contrainte, nous devons nous libérer des chaines de notre pensée et nous briserons ainsi les chaines qui retiennent notre corps prisonnier. Or, la bonne méthode consiste à n’essayer de transcender nos limites que l’une après l’autre avec patience et persévérence.

Le besoin de changement que nous pouvons être amenés à ressentir, n’est pas un changement de l’entourage et de l’environnement, mais un changement personnel, intérieur et profond dans notre façon de voir et d’envisager le temps et l’espace !

En ayant pour objectif notre libération du temps et de l’espace, nous devons viser une amélioration et un approfondissement de nos relations par une meilleure écoute, une meilleure approche et une ouverture d’esprit plus grande.

Se débarrasser des principes, des idées reçues et des erreurs d’un système d’éducation religieux ou de société en pratiquant le non-attachement.

La répétition et la constance de nos efforts vont nous permettre d’atteindre la perfection.

Ceci n’est en aucun cas de la faiblesse, ni de la lâcheté, ni une fuite de responsabilité.

La conscience doit être forte, exigeante et persévérante.

La relaxation et la méditation basée sur la respiration est un outil de choix pour atteindre notre objectif !

Essayez, pratiquez et vous verrez !

Jacques

Inspiration

Bonjour,

Un petit poème inspiré :

J’ai marché sur le chemin, et tu me donnais la main,

J’ai suivi le souterrain, qui va jusqu’au lendemain,

Et je suis entré dans l’eau, au travers de mon reflet.

Pour y voir que tout est beau, et qu’il n’y a rien de laid,

Et j’ai reçu ce cadeau, cette si belle plume,

Qui me permet avec les mots, de dissiper la brume,

Les dieux me tenaient la main, et moi je me sentais bien,

Entre la naissance et la mort, il y a tout il n’y a rien.

Merci de ton cadeau la Vie.

Jacques

La vie après la mort (3)

Bonjour,

La révolution tranquille et profonde qui se produit à l’échelle de la planète permet ainsi d’avoir pour les années à venir des visions d’espoir et de confiance, contrairement aux propos pessimistes tenus par les défenseurs d’un pouvoir économique, politique ou social basé principalement sur la peur de la mort et l’âppat du gain.

C’est dans l’esprit de ce retour vers les valeurs essentielles de l’être humain que se situe ma réflexion sur la vie après la mort. À la suite d’une recherche approfondie sur le sujet, au cours des 40 dernières années, je crois sincèrement que la mort est une étape correspondant au voyage de l’âme dans le corps physique.

La mort est à la fois une libération et l’entrée dans une nouvelle existence sous une forme différente.

La mort est l’accomplissement final, la compréhension matérielle du princpe de non-attachement, l’âme réussissant alors à se libérer de ses attaches charnelles. C’est le retour vers la lumière et la connaissance en dehors de l’illusion du temps et de l’espace.

La vie après la mort est un état de conscience différent.

L’on comprend ainsi quelle brèche fut ouverte dans le monde scientifique par Einstein et la théorie de la relativité.. Tout est relstif à notre état de conscience.

Je crois que la vie existe avant la naissance et qu’elle existe encore après la mort. Le corps physique qui apparait à la naissance et disparait à la mort est pour nous l’occasion d’apprendre de tous les évènements de notre vie, bons ou mauvais, la façon dont nous pouvons mettre en application le bon usage de l’Amour et de la Compassion.

Enfin, j’essaie de garder une grande ouverture d’esprit qui me permettrait d’accepter, le moment venu, que  » Tout peut être faux  » comme le dit si bien Richard Bach dans Johnatan Livingston le Goéland !

Jacques

La vie après la mort (2)

Bonjour,

Pour comprendre cela, il est indispensable de sortir des systèmes de croyances non vérifiées. Qu’il s’agisse de l’absence de vie après la mort ou des théories orientales de la réincarnation, il nous faut utiliser nos facultés mentales de façon positive, c’est-à-dire ne pas mettre en doute systématiquement pour détruire, mais s’ouvrir simplement à l’éventualité, aux possibilités existentielles d’une vie après la mort. De cela, nous ferons tous l’expérience, que nous le voulions ou non.

Mais sans avoir à attendre ce moment-là, soyons ouverts aux expériences des autres. Les travaux du Dr Moody et d’autres chercheurs ont mis en lumière l’existence d’une vie après la mort, ou d’expériences à la frontière de la mort ( NDE). Ces expériencs sont une fenêtre ouverte sur le monde de l’au-delà, bien que ces personnes ne soient mortes que cliniquement puisqu’elles ont retrouvé la vie pour partager ce qu’elles ont vécu.

Un élément trés positif de ces phénomènes est la transformation et le changement survenus après cette expérience : la peur de la mort a disparu chez la plupart de ces personnes et leur comportement quotidien est devenu exemplaire de charité et de compassion.

De nombreuses associations ont été mises sur pied afin d’accompagner et surtout d’écouter les grands malades en phase terminale. Cela mérite d’être souligné, car c’est un signe du retour du spirituel dans la société. Ceci vient en quelque sorte confirmer la prophétie d’André Malraux :  » Le XXI ième siècle sera spirituel ou il ne sera pas ! « 

Suite et fin dans le prochain article.

Jacques

La Vie après la mort (1)

Bonjour,

Voici un article que j’ai publié dans le Vent d’est en novembre 1991.

Y a-t-il une vie après la mort ? D’ou vient-on et pourquoi existe-t-on ?

Voilà les questions esentielles que se pose l’être humain depuis des millnaires.

 » Tout d’abord, définir la vie : il y a deux sens à ce mot, un sens restreint et un sens large. Le premier désigne la vie humaine qui commence le jour de la naissance et se termine le jour de la mort. Dans la seconde signification, la vie représente le principe de tout ce qui est, de tout ce qui évolue. Déjà, avant la naissance, le bébé a une vie, il suce son pouce, il a des émotions dans le ventre de sa maman. Alors qu’en est-il lorsque toutes les fonctions corporelles se sont arrêtées et que la mort lui a pris la vie ? « 

La mort … le mot est lâché : le squelette lugubre armé de sa faux, la source de toutes les peurs, l’instrument de pouvoir de tous les dictateurs, de domination des seigneurs et des fanatiques des guerres de religion.

Un mot tabou exclu de l’éducation et auquel des générations ont attaché une connotation macabre et négative. La comédie a assez duré. À bas les masques ! Osons en parler, osons accompagner les mourants, non pas comme nous le souhaitons, mais comme eux le désirent. C’est d’ailleurs ce qu’a fait le Dr Élisabeth Kubler-Ross, une américaine qui a écrit :  » La mort est un nouveau soleil « , selon elle.

Après avoir écouté ce que les gens qui mouraient avaient à dire, elle reconnait qu’il s’agit en fait d’un véritable enseignement. Ici, pas de larmes ni de jérémiades, mais plutôt des leçons optimistes sur la Vie, l’Amour, l’Espoir, le Pardon !

J’ai beaucoup appris des patients que j’accompagnais dans leur départ vers l’au-delà, et ce n’est qu’après coup que j’ai compris toute la richesse qu’ils me transmettaient.

Tout comme la naissance est l’entrée de l’âme dans notre corps physique, la mort est la sortie hors du corps de cette même âme. Si la mort est si simple, me direz-vous, que se passe-t-il après ? Tout est-ll fini, ou bien y a-t-il une forme de vie ou d’existence différente ?

L’enfer et le paradis ne sont pas des lieux géographiques, mais des états de conscience et c’est ce qui me permet de dire que l’être humain peut faire de sa vie un enfer ou un paradis. De la même façon, la vie après la mort est un état de conscience de la vie que nous connaissons à l’état ordinaire de conscience !

Suite dans le prochain article.

Jacques

Viens, donnes moi la main . . .

Bonjour,

Tiré d’un receuil de poèmes personnels inspirés et inspirant la croissance et l’épanouissement de la personne.

 » Viens, donnes moi la main,

Accompagnes moi sur le chemin,

Et tous deux si tu le veux bien,

Nous pourrons aller très loin ! « 

Un guide, un accompagnant, voilà le but de ce poème ou les pensées se marient simplement à la poésie.

Fruit de l’inspiration du moment, branché sur le vécu intérieur, ces pensées, ces émotions, ces sensations demandent à être partagées.

Cela en vertu d’une loi  » mathématique  » qui dit qu’une peine partagée est diminuée de moitié, et qu’une joie partagée se trouve toujours doublée.

Alors, si vous avez des bleus à l’âme, je vous en échange la moitié contre le double de mon bonheur !

Jacques

Le village historique Acadien !

Bonjour,

J’ai la chance d’habiter non loin d’un centre d’intérêt majeur concernant l’histoire de l’Acadie.

À l’occasion d’une visite accompagné d’amis venant de la mère patrie, la France, j’ai réalisé l’impact de ce village sur les touristes qui le visitent.

En effet. moi qui l’ai visité plus d’une fois, j’ai pu lors de cette dernière visite constater l’impact ressenti par les visiteurs qui le découvraient pour la première fois.

Les maisons et les interprètes qui les animent font re-surgir des mémoires du passé qui les plongent dans leur enfance et celles de leurs ancêtres. Je les regardais s’émerveiller, poser des questions pertinentes et revivre des émotions oubliées depuis longtemps, jusqu’à remonter au temps de leur enfance et de celles de leurs parents et grands-parents.

Je lisais sur leur visage la joie de se souvenir d’un passé parfois trés ancien avec des émotions qui surgissaient à l’évocation de certains discours et l’apparition d’objets oubliés depuis très, très longtemps.

Au point que je pouvais percevoir sur leurs visages, parfois de la joie et parfois une certaine nostalgie en évoquant et en partageant avec ces  » acteurs du moment  » que sont les employés du Village historique.

Cette visite fut pour moi teintée d’une émotion en observant les réactions de mes invités qui me remercièrent de leur plaisir et de leurs émotions.

Si vous avez la chance de venir dans la Péninsule Acadienne, au Nouveau Brunswick, je vous conseille vivement cette visite et pouquoi pas, en ma compagnie !

Jacques

VISION . . .

Bonjour,

Je vois ce tourbillon, je me crée le regardant.

D’autres ne le voient pas.

Ce qu’il représente pour moi, c’est que la Vie est une danse, un tourbillon que l’on peut ne pas regarder ou regarder, c’est un choix !

Tout est mouvement, vibration, fréquence, énergie et tout existe par le regard que j’y porte, l’attention que j’y met, le contentement que j’ai à le regarder.

Si je veux vivre, il suffit de me laisser tourbillonner, danser et vibrer à la Vie, à l’existence.

Ce tourbillon est un coquin, un lutin, un farceur, il est éphémère, il est illusion mais il est.

L’illusion dépend de ma perception, de mon observation, donc j’interviens directement :

 » Il n’est pire sourd que celui qui ne veut entendre ! « 

En me laissant  » danser « , je m’identifie à la Vie, je communie !

Lâcher prise permet d’élever les vibrations ou plus simplement de les laisser  » vibrer  » !

Jacques

Envol

Bonjour,

Un autre poême sorti de mes archives du 20 janvier 1991 au retour d’un voyage.

ENVOL :

Dans la nuit qui finit, au-dessus des nuages,

Sous les étoiles qui luisent, comme au temps des rois mages,

Notre vaisseau du ciel, pointé vers le levant,

Achève à tire d’ailes, son vol ahurissant.

De toute la gravité, défiant la pesanteur,

Il s’était élevé, poussé par ses moteurs,

Quittant la terre gelée, hier dans la soirée,

Une belle envolée, encore recommencée.

Dans cet espace étroit, cette masse de fer,

Servis comme des rois, par une équipe fière,

Les passagers ravis, au fond de leur sommeil ,

Ont passé une nuit, à nulle autre pareille.

Remercions l’équipage , de ce vol bien sage,

Ainsi que les hôtesses, de ce joli voyage,

Afin qu’une autre fois, au milieu de nos rêves,

Nous partagions la joie, même si la nuit fut brève !

À cet instant, l’avion touche le sol ! . . .

Jacques 20 janvier 1991.