Category Archives: Mon Histoire

Le pouvoir de la Pensée

Bonjour,

Prenons l’exemple d’une automobile :

C’est l’homme qui construit la voiture, qui extrait le pétrole (énergie) et qui conduit la voiture.

De même, c’est l’esprit (pensée) qui construit, nourrit et entretient le corps. donc la pensée crée !

Or il y a deux sortes de pensées : la pensée positive et la pensée négative.

Au niveau de l’énergie, la pensée négative bloque l’énergie et la pensée positive libère l’énergie.

Au niveau de la fonction, la pensée négative perturbe la fonction et la pensée positive régularise la fonction.

Au niveau des lésions des organes du corps, la pensée négative crée les lésions et la pensée positive les harmonisent.

Au niveau de la maladie, la pensée négative détruit et la pensée positive guérit !

En conclusion, selon l’état et la qualité de nos pensées, nous pouvons détruire notre corps ou le guérir. c’est une affirmation puissante et tout à fait concrète. Ce n’est pas une vue de l’esprit car je l’ai constaté pendant soixantes années de Médecine et je l’ai aussi expérimenté sur mon propre corps – charité bien ordonnée commence par soi-même !

Pensez-y bien, il en va de votre santé pour bien vivre en santé ou mourrir malade !

C’est aussi toute la mission de ce blogue qui en est à ses douze ans d’existence.

Ambroise Paré disait : Je le soignais, Dieu le guérit ! Dieu est un concept qui englobe notre âme et donc notre pensée .

Jacques

Forêt en hiver au Canada

Bonjour,

Il y a 34 ans j’avais écrit ce texte, or nous sommes en pleine tempête et le voici :

Marchant dans le silence, sur l’épais manteau blanc,

Qui recouvre le sol jusqu’au seuil du printemps,

Je peux sentir la Vie, qui grouille et qui respire,

En respectant la loi, que le froid fait venir.

Les grands arbres gelés, et les buissons cachés,

Sans faire un mouvement, restent fièrement dressés.

Sans en avoir conscience, mais tout en le sachant,

Ils attendent patiemment, un temps plus réchauffant.

Malgré le froid qui pince, j’entends j’en suis surpris,

Dans les arbres qui grincent, des chants, des gazouillis.

Profitant du soleil, de minuscules oiseaux,

Envoient à mes oreilles , de joyeux trémolos.

Une piste apparait, au détour du chemin,

Qui trahit le passage, d’un quelconque lapin.

Et des traces plus petites, se révèlent à mon oeil,

Indiquant la présence, d’un petit écureuil !

11 Janvier 1991

Jacques

Aujourd’hui c’est la Saint Valentin.

Bonjour,

J’ai dèjà écrit plusieurs articles sur la Saint Valentin, que vous pouvez retrouver en cliquant sur la petite fenêtre en haut et à droite de l’écran.

Or ce matin 14 février 2025, c’est précisément la saint Valentin, la fête des amoureux ou aussi la fête des amoureux heureux (imaginez deux petits coeurs souriant).

C’est un grand jour, car c’est le jour de l’Amour et des Amoureuses et des Amoureux. Je crois que si toutes les femmes et tous les hommes osaient respecter l’Amour dans toute sa grandeur, il n’y aurait plus de guerres, plus de meurtres, plus de violences, plus de mensonges, plus de tricheurs, plus de voleurs, plus de criminels, plus de dictateurs et plus de détraqués avides de pouvoir factice et d’appât du gain. ( vous les reconnaitrez !).

Ceci étant dit, il n’existe qu’un seul Amour, l’Amour inconditionnel ( oubliez les : Je t’aime, si ! ).

L’Amour donne, il ne prend pas, l’Amour pardonne, il ne condamne pas, l’Amour n’est pas vénal, il ne s’achète pas, l’Amour existe, il est présent, il est cadeau, l’Amour enrichit la Vie et les vies et la saint Valentin devrait être un jour de congé pour pouvoir s’aimer davantage et enfin l’Amour commence par l’Amour de soi, de son corps de son être et de sa Vie.

 » Aimes ton prochain comme toi-même ! « 

Dans le mot Amour il y a le mot Âme, cette partie de nous qui habite et donne vie à notre corps physique, alors en aimant et en vous aimant votre corps restera en bonne santé jusqu’à la fin de vos jours !

Pensez-y bien,

Jaques

Temps de compréhension !

Bonjour,

À l’approche de ma dixième décade, je viens seulement de comprendre les mots de ma défunte mère :  » Sois sage ! « .

Surement pas, je n’avais qu’un but, m’amuser, jouer, rire faire des bêtises, courrir dans le jardin, aller voir les poules et les lapins au fond du jardin qui était trés grand pour mes petites jambes, je profitais de la Vie à 100 % et mes oreilles entendaient comme un refrain :  » Sois sage !  » et ça rentrait par une oreille et sortait rapidement par l’autre pour continuer à faire des bêtises.

Évidemment à cette époque, je n’avais pas compris que j’avais une maman visionnaire, et maintenant je saisis les mots que mon jeune âge ne pouvaient pas comprendre. Ma grand-mère et mon grand-père chez qui nous habitions me regardaient aller avec un sourire complice, alors pour leur faire plaisir, je faisais des bêtises !

Du haut du ciel Maman doit sourire en se disant qu’elle avait bien raison de me donner ces bons conseils que je commence à peine à mettre en pratique, oui, je suis devenu sage même s’il m’arrive encore de faire des petites bêtises, simplement parce que cela m’amuse encore. Il faut faire des bêtises pour vieillir moins vite et je serais vieux, après ma mort et je ne ferais plus de bêtises, quoique ? J’ai entendu dire que des personnes décèdées jouaient des tours à celles restées, hum, intéressant !

La Vie est belle, un film que je conseille à tous, parce que réussir à faire rire des camps de concentrations nazis, Roberto Benigni, en 1997 a réussi cet exploit. J’ai adoré ce film parce que je m’y suis retrouvé.

Je suis devenu sage ( un peu seulement ) et je fais faire les bêtises par mon enfant intérieur et mon apparence extérieure ne peut me faire accuser des méfaits de mon tendre alter égo, j’ai eu tellement de peine à croiser des personnes sans sourires et sans ironie qui ne comprenaient pas ma vision de la Vie. Heureusement, la Vie elle, m’a bien accompagné et m’accompagne encore et quand je fais une bêtise, personne ne va penser que l’idée a germé sous mes cheveux couleur argentée, car contrairement aux autres personnes, je n’ai pas de cheveux blancs, çà c’est pour les vieux ou les vieilles personnes.

J’ai donc compris que Maman me voyait devenir sage et qu’elle a attendu de longues années pour enfin remarquer que ses instructions se réalisaient, juste avant sa mort.

Maintenant que je suis devenu sage en apparence, mon complice intérieur me régale de ses fantaisies et de ses idées saugrenues et nous rions ensemble, discrètement car il y a encore des personnes qui ne connaissent pas leur enfant intérieur, cette âme d’enfant qui est simplement l’âme qui ne vieillit jamais et qui m’emportera dans un sourire au jour choisi, encore lointain.

Voilà !

Jacques

Les sentiers du Grâal

Bonjour,

Sous le regard bienveillant, du hibou un peu méfiant,

Je pénètre assez confiant, dans ce bois et ses tourments,

Je m’avance prudemment, parmi ces obstacles et ces pièges,

Que j’observe attentivement, et que pour une fois j’assiège.

Et, débarrassé du chien, qui cachait le forgeron,

Je prends au creux de ma main, la clé de cette prison,

N’écoutant que mon courage, auprès de l’homme sans visage,

J’accepte de tourner la page, de modifier mon image.

Je traverse le fleuve noir, par les soins du nautonnier,

Et je vois briller l’espoir, de pouvoir me retrouver,

De cet arbre lumineux, qui me cache la forêt,

Vite je détourne les yeux, pour ne pas m’y arrêter.

Et le cerf majestueux, au panache merveilleux,

Du château aussi précieux, vient pour m’indiquer le lieu,

C’est alors que le miroir, me retournant mon reflet,

Pour une fois me fait voir, que c’est moi que je cherchais.

Je reçois du Roi-pêcheur, cette belle pierre verte,

Qui pourra guérir mon coeur, et m’arrêter dans ma perte,

Et pour avoir tant marché, me voici récompensé,

Après avoir tant cherché, j’ai trouvé la liberté.

Je me suis forgé la clé, pour me désemprisonner,

De l’illusion insensée, qui masquait la VÉRITÉ !

Jacques

À TOI FEMME !

BONJOUR,

Toi, tu es tout pour moi, la mère offrant son ventre,

La femme offrant son toit, préparant ma naissance,

Au fond de tes entrailles, s’est niché mon essence,

Et de mes épousailles, c’est toi qui est le centre.

Mes premières amours, et mes premiers combats,

C’est tout au fond de toi, que cela se passa,

Et dans le réconfort, de ta douce chaleur,

Je faisais de ton corps, le lit de mon bonheur.

Luttant pour me garder, et moi pour m’en aller,

Tu mettais tout en oeuvre, pour pouvoir accoucher,

Et quand ce fut mon heure, d’enfin me décrocher,

Tu as ouvert ton coeur, tu t’es laissée aller.

Sitôt quitté ton ventre, j’ai rencontré ta peau,

Sur la mienne j’ai senti, l’air de ton souffle chaud,

Pendant que le cordon, qui encore nous liait,

Assurait ma survie, car il me nourrissait.

Puis comme une madonne, qui ne refuse rien,

Voilà que tu me donnes, la pointe de ton sein,

Et tu donnes de ta vie, pour assurer la mienne,

Et ce lait que tu fis, fût un bonheur suprême.

D’une main bienveillante, tu guides mes premiers pas,

Une douceur acceuillante, quand tu ouvres tes bras,

Et toute mon enfance, passée auprès de toi,

Comme mon adolescence, cela ne s’oublie pas.

Puis tu deviens la femme, sujet de mon désir,

Je te déclare ma flamme, l’envie de nous unir,

De créer un foyer, pour encore répéter,

Cette si belle histoire, qui nous a enfantés.

À ton tour tu seras, la mère de nos enfants,

Tu prendras dans tes bras, ces visages souriants,

Tu les élèveras, leur donnant plein d’amour,

Et tu les lâcheras, pour qu’ils t’aiment toujours.

Au soir de notre vie, tu deviens ma compagne,

Allumant la bougie, le soir à la campagne,

Tu veilles sur mon départ, avec la même douceur,

Que malgré le cafard, tu gardes dans ton coeur.

Le 4 JANVIER 1992

Jacques

ÉCRIRE !

Bonjour,

Pour ce premier jour de l’année 2025, Je vous offre ce petit poème ainsi que tous mes voeux pour les 365 jours à venir !

Prendre la plume,

Une feuille de papier,

Laisser les doigts,

Tracer sur la page blanche,

Les lettres et les mots,

Les idées et les phrases,

Qui coulent de mes pensées,

Se bousculent et se pressent,

Afin d’être exprimées.

Décrire une vision,

Dépeindre une émotion,

Ou choisir ce moyen,

Pour pouvoir à loisir,

Partager une sensation,

C’est comme une musique,

Ou comme un instrument,

Ces mots qui se fabriquent,

Comme souffle le vent !

11 Octobre 1991

Jacques

Le jour se lève

Bonjour,

Le soleil radieux pointe à l’horizon ; après une longue nuit, le jour se lève, et dans le ciel bleu un petit nuage se pare des couleurs du soleil levant pour laisser éclater sa joie.

Dans la noirceur de la nuit sans lune, le petit nuage paraissait bien isolé, mais là, resplendissant de jaune et de rose sur le fond de ciel bleu, il devient important, on le regarde, on ne voit que lui, comme il n’est pas effrayant, on le flatte, on l’apprécie, on lui sourit, et il est heureux !

L’arrivée des chauds rayons du soleil le fait briller au point d’éclipser le bleu du ciel, mais il reste ce petit nuage tranquille bercé par le murmure du vent dans les feuilles des arbres.

Toujours présent et inaccessible, à l’abri du stress et des maléfices de l’homme, c’est peut-être cela que l’on appelle le PARADIS !

Jacques 28 Janvier 1988

RENCONTRE

  • Bonjour, Monsieur le nuage,
  • Bonjour à vous et que Dieu vous bénisse,
  • Je suis venu vous trouver pour savoir à quoi vous servez !
  • C’est une bonne question, mais ce n’est pas moi qui peut répondre à votre place .
  • Comment cela à ma place ?
  • C’est trés simple, lorsque vous posez une question, vous attendez la réponse qui vous convient et que vous connaissez dèjà. De ma réponse, vous n’attendez que la confirmation de la vôtre. N’est-ce pas ?
  • Vous êtes trés énigmatique !
  • Non, c,est vous qui posez des questions. Et je peux vous donner des réponses. Un nuage sert à tout ce que votre imagination peut créer. Je m’explique. Si vous voulez le voir doux et tendre plutôt que sombre et menaçant, vous le pouvez. Si vous voulez le voir représenter une forme qui vous est familière, vous le pouvez, Si vous voulez en faire un ami ou un ennemi, vous le pouvez encore.
  • Mais en dehors de votre imagination, il restera toujours un nuage. Sa seule vérité, c’est d’être là, au moment ou vous le regardez, ou lorsque vous y pensez, et c’est déjà beaucoup d’Être!
  • C’est parfois difficile, et peut-être plus pour un nuage. Comment pouvez-vous surmonter toutes les épreuves de la météorologie ?
  • Ce qui est difficile, c’est de rechercher volontairement le compliqué et de se créer des épreuves : c’est-à-dire ce que font les gens en général ! Pour moi, tout est simple. Parfois vous me voyez lorsque les conditions s’y prêtent, et parfois, vous ne me voyez pas mais pourtant je suis toujours là ! Je peux vous apporter la petite touche de couleur qui se détache sur le ciel bleu, mes couleurs varient avec le parcours du soleil, je peux vous abriter du soleil ou vous faire cadeau de quelques gouttes d’eau, je peux vous séduire ou vous importuner, mais ce qui compte, c’est que je sois là pour parler avec vous, et vous dire que je vous AIME !

Jacques (12 janvier 1988 )

Demain !

Bonjour,

Un jour nouveau se lève, il faut le préparer,

Amis sortons du rêve, pour mieux nous éveiller,

Acceptons le passé, mais sans s’y attacher,

Retenons les leçons, qu’il nous a enseignées !

Cette aube qui scintille, le bout de notre nuit,

Construisons la ensembles, tout au long de la Vie.

Ajoutons nos efforts, et notre volonté,

Utilisons nos corps, et toutes nos pensées.

Reconnaissons enfin, que par une ilusion,

Depuis longtemps dèja, règne la confusion.

Et cessons de créer, tous ces désagréments,

Que nous pensons la cause, de mille et un tourments.

Là ou la lumière brille, il n’y a plus de doutes !

Quand l’étoile scintille, elle indique la route,

Laissons s’ouvrir nos coeurs, pour permettre à toujours,

De remplacer nos pleurs, par la joie de l’amour !

le 11 janvier 1991

Jacques