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Les blessures de l’âme !

Bonjour,

Vous consultez mon blogue pour savoir comment bien vivre en santé et c’est la raison d’être de ce blogue qui dépasse à ce jour plus de 1000 articles. Celui-ci est une première. En effet j’ai abordé beaucoup de sujets et celui-ci est nouveau !

Tout le monde connait les blessures physiques pour les avoir expérimentées. D’autres connaissent les blessures émotionnelles pour les mêmes raisons ainsi que les blessures psychologiques.

Aujourd’hui nous allons franchir un grand pas pour parler des blessures de l’ÂME ! ! !

L’âme ou conscience ou tout autre mot qui vous convient, ne se situe pas dans le corps physique, ni dans le cerveau, ni dans la pensée. Le véhicule physique tout comme une voiture ou un bateau ou un avion fonctionne grâce à une partie appelée le chauffeur, le marin ou le pilote et pour le corps c’est l’âme qui tient le volant ou la barre ou le palonnier.

Avez-vous déjà vu une âme ? Non et moi non plus car elle existe au-delà des limites de notre humanité !  » Science sans conscience n’est que ruine de l’âme !  » Cette citation n’est pas de moi et je l’aime bien.

Pour avoir pendant plus de 60 ans rencontré et offert mes soins à de nombreuses personnes, j’ai eu la chance de comprendre et de réaliser que les blessures de l’âme avaient des conséquences sur le physique, l’émotionnel et même l’intelligence ( qui ne peut et ne sera jamais artificielle, n’étant tout au plus qu’une autre erreur humaine !)

Dans une relation humaine et surtout dans le domaine de la santé physique et psychologique, il existe des limites qui parfois sont transcendées et nous permettent de comprendre et d’agir au niveau de l’âme !

Les blessures de l’âme sont rencontrées lorsque les deux personnes sont envahies par un état particulier qui s’ouvre dans une relation humaine, au-delà de la vie ordinaire. Les évènements sont alors relégués dans un arrière plan et la relation entre dans une autre dimension qui est le domaine de l’âme ! État trés particulier qui fait que les deux personnes sont dans un nouveau niveau de communication et de compréhension. Un autre mode de communication s’ouvre et les échanges deviennent plus précis et plus révélateurs.

Les blessures apparraissent alors avec une évidence nouvelle, offrant ainsi une toute autre palette de communication et de compréhension. Il peut y avoir des mots, parfois des silences riches de cette communication d’âme à âme .

L’effet et les résultats apparraissent sans intervention du mental ni du raisonement, les mots ne sont plus utiles, bien au contraire. La magie opère sans se dévoiler, il suffit de l’accepter, il n’y a plus que le résultat qui compte. Tout discours ou interprétation ne sont que leurres d’un mental !

Le résultat est tout simplement la confirmation que la mise en relation a permis de passer de l’ignorance à la compréhension des blessures et de facto à la guérison !

Non, ce n’est pas un  » miracle « , cela fait partie d’une attitude ou l’empathie, le respect, et la confiance exercent tous leurs pouvoirs !

Les blessures de l’âme peuvent guérir dans une simple relation avec soi-même ou dans une inter-action avec une autre personne, un lieu ou un évènement particulier.

Les ayant toutes expérimentées, j’ai choisi de vous écrire ce témoignage pour vous permettre de Guérir votre Âme, si vous le voulez, bien sur !

Pensez-y profondément !

Jacques

L’ACCEPTATION

Bonjour,

L’acceptation, c’est faire un constat sans  » jugement  » !

Je tiens à inclure ce texte très pertinent en citant son auteure, car je trouve qu’il recouvre bien le sujet que je vous présente aujourd’hui :

L’ACCEPTATION (Réflexion)
Par Marie Claude Haumont, France

De mon point de vue, la clé de toute guérison passe par l’acceptation que ce soit d’un point de vue physique, psychique ou spirituel.

  • Accepter c’est d’abord reconnaître ses difficultés;
  • Accepter, c’est ensuite ne pas les renier et ne pas aller contre;
  • Accepter c’est reconnaître sa responsabilité;
  • Accepter c’est prendre conscience que ce qui nous arrive fait partie de notre histoire et est, de ce fait, nécessaire à notre histoire;
  • Accepter c’est aussi déresponsabiliser les autres pour les torts qu’ils nous causent. Il ne s’agit pas de les excuser, il s’agit de les considérer seulement comme acteurs de notre propre scénario.

L’acceptation doit être profondément ancrée au fond de soi et envahir tout l’espace. De ce fait, il n’y a plus de place pour les frustrations, les colères, les remords, les regrets et tout ce qui apporte la douleur.

Fin de la citation et encore un gros MERCI pour cet  » emprunt « !

Accepter, c’est renoncer à tomber dans l’engrenage de la  » victimite  » qui veut nous faire croire et surtout oublier que nous sommes sommes ici pour jouer le jeu de la Vie et que tous les acteurs sont nos partenaires de  » jeu  » et que les situations et les évènements que nous rencontrons sont là pour nous permettre de nous épanouir !

Jacques

 » On n’a pas le choix  » !

Bonjour,

Effectivement, je n’ai pas le choix de m’insurger contre cette expression que je viens d’entendre répétée plusieurs fois par une animatrice de radio qui ne partage pas mes certitudes sur ce sujet. (en 2017 j’ai publié l’article suivant :  » Re-choisir  » ). En fait j’aurais pu choisir de ne pas en parler, mais si je choisis de le faire, c’est que je veux corriger ces fausses informations qui ne sont basées sur aucune certitude, si ce n’est l’ignorance, le déni, le découragement ou tout simplement l’inconscience !

Bien vivre en santé, c’est le résultat d’un ou de plusieurs choix et ne pas faire de choix conduit à ne pas bien vivre du tout ! La fatalité contenue dans cette expression :  » On n’a pas le choix ! « est tout simplement une conséquence de l’existence chez ces personnes de l’un ou l’autre des trois poisons : l’attachement, la colère et l’ignorance et parfois les trois ! J’ai également publié des articles sur ces trois poisons.

Quelle que soit votre opinion vous découvrirez dans la vie que nous avons toujours le CHOIX, à commencer par le choix de vivre ou de mourir, que ce choix nous appartient tant que nous ne laissons pas d’autres personnes décider à notre place. Nous pouvons toujours écouter notre libre-arbitre qui est un droit de naissance et nous pouvons manquer de respect envers nous-même en ne faisant pas ce choix et au final, nous aurons fait un mauvais choix, qui donc est encore un choix.

Tous et toutes, nous avons toujours le CHOIX de dire oui ou non, quelles qu’en soient les conséquences. Ne l’oubliez pas !

Jacques

MAIS !!!

Bonjour,

Voilà un mot maudit que fort malheureusement, j’entends trop souvent. Bien sur je l’ai employé aussi dans le passé jusqu’au point d’en avoir abusé et d’en avoir payé très cher les conséquences,  » oui, Mais  »  » non, Mais « . Ce mot est utilisé pour s’opposer ou pour contredire un interlocuteur ou se contredire soi-même, ce qui est encore pire. Surveillez votre langage et vous vous rendrez compte par vous-même que chaque fois que vous l’utilisez, vous perdez une chance de changer votre vie pour bien vivre en santé ! Car le ou la champion(ne) du « oui, mais… » prend un malin plaisir, très inconscient, à vous signifier que rien ne pourra jamais fonctionner.

Que faire face à ces « oui, mais… » répétitifs et usants ? Ne pas rentrer dans ce jeu de dupes. Renvoyez l’interlocuteur à sa propre liberté, donc à sa responsabilité. Après avoir accueilli avec bienveillance quelques « oui, mais… » sans vous y laisser prendre complètement, demandez à la personne comment, dans ces conditions, elle compte résoudre son problème et quelle serait, selon elle, la meilleure solution ? En insistant sur la confiance que vous placez en elle de trouver une réponse à son problème.

Il m’a fallu beaucoup de temps à surveiller mon langage, pour identifier cette manie inconsciente et je remercie Louise Hay qui faisait campagne contre le  » Yes, but ! « , en expliquant comment notre subconscient nous laissait utiliser cette formule destructrice bien connue des personnes qui pratiquent l’auto-sabotage, sans même s’en rendre compte ! Grâce à elle, ma vie a changé et j’ai appris à dire  » OUI  » quand je voulais dire OUI et  » NON  » quand je voulais dire NON. Je vous propose d’essayer à votre tour de bannir le « Oui, mais  » une fois pour toute . . .

Jacques