Tag Archives: Poème

La pluie !

Bonjour,

Le ciel s’est obscurci et les nuages gris, ont fait des parapluies activer la sortie,

Le temps était bien sec, et c’est toute une aubaine ,

Cette eau qui tombe à verse, pour arroser les plaines.

Dans la forêt d’automne, ou les feuilles flétries,

attendaient la venue, de gouttes désaltérantes ,

L’humidité revient, et la mousse revit,

et les senteurs des bois sont des plus odorantes !

Les ruisseaux asséchés, sont vite désaltérés,

et dans mille rivières, toute la gent affairée,

des poissons et mollusques, batraciens, crustacés,

trouvent un regain de vie, une nouvelle santé.

La pluie, cadeau du ciel, nous lave et nous nourrit.

Au retour du soleil, tout est propre et tout brille,

La poussière retournée à la mère nourricière,

mérite encore une fois, cette belle prière !

J.M. 19-9-1991

JOUR DE PLUIE . . .

Bonjour,
Je viens de retrouver dans mes archives un poème que j’avais écrit un jour de pluie et c’est le temps d’aujourd’hui, je vous le livre tel quel :

JOUR DE PLUIE

Aujourd’hui, la terre fait sa grande toilette,
Pour se débarrasser de toutes ses impuretés,
Les nuages envoient de l’eau à volonté,
Rinçant abondamment notre belle planète.

Cette pluie bienfaisante, enlève la poussière,
Et toute la pollution, en suspension dans l’air,
Toutes ces particules, sont enfouies dans le sol,
Pour être digérées, par mille bactéries.

Toutes ces gouttes qui tombent du ciel,
Font un spectacle merveilleux,
Qui se déroule devant mes yeux,
Merci mon Dieu, que la nature est belle.

15/01/1993

Jacques

LE DAUPHIN ET L’HOMME !

Bonjour,
Un autre poème inspiré ou dicté par les dauphins du pacifique (!):

Lorsque j’étais dauphin, dans cette autre existence,
Mes amis les humains, sombraient dans la violence,
J’ai plongé vers le fond, pour ne plus voir la terre,
S’enfoncer dans l’horreur, la souffrance et la guerre,

Se perdre dans l’espoir, d’une autre vie ailleurs,
Alors qu’elle était là, juste à portée de cœur,
À portée de nageoire, au point de non retour,
Juste au point de rencontre, entre peur et amour…

Si j’étais un dauphin, j’aurais le cœur bien lourd,
En écoutant la mer, battre comme un tambour,
Et les hommes, mes frères, appeler au secours,
Et les hommes mes frères, appeler au secours…

Jacques