Bonjour,
Jacques Salomé disait que souvent le silence des mots réveille la violence des maux.
Nous utilisons des mots dans notre langage et d’autres pays, d’autres cultures utilisent d’autres mots.
Ce n’est pas juste de vouloir tout simplifier et de dire que tel mot a une signification précise, comme voudraient nous le faire croire certaines théories un peu faciles.
Je crois fermement qu’il faut aller au-delà des mots, ou dit à ma façon, il ne faut pas prendre les mots à la lettre . . . .
En Acadie, un capot est un manteau et dans le langage moderne, un capot est ce qui recouvre le moteur de la voiture, par extension car le capot recouvre notre corps.
Par exemple, une larme coule de nos yeux, ce peut aussi être l’âme qui prend l’R et comme on dit que les yeux sont le miroir de l’âme, on peut comprendre le bien-fondé de l’iridologie, qui étudie les signes colorés de l’iris pour en tirer des indications diagnostiques.
La douleur peut très bien être vue comme un » doux leurre » et c’est à nous et pas à une autre personne de savoir vers quelle direction cet » au-delà des mots »
nous convie.
Il est intéressant de remarquer que les lapsus ne sont jamais anodins, pourquoi notre langue a fourché sur un mot en particulier.
Nous ne pouvons pas dire simplement : » Oh ! je me suis trompé ! « .
Si vous prenez le temps de lire ou d’écouter les mots, vous allez découvrir tout un monde de possibilités surprenantes et guérissantes !
Ami calmant
Jacques