Bonjour,
Cette phrase de François RABELAIS qui a vécu au temps de la Rennaissance ( de la fin du quinzième siècle a la moitié du seizième siècle ) reste de plus en plus d’actualité de nos jours.
La science a fait beaucoup de progrès et les technologies évoluent très rapidement.
Le problème est que parfois, pas toujours heureusement, la science se développe enfermée dans son cadre étroit et oublie l’importance de l’âme …
En médecine il y a des exemples malheureusement trop nombreux ou la technique oublie de penser à l’humain, à son âme, à ses émotions et dans ces cas là les traitements sont moins efficaces, les diagnostics sont erratiques ou même absents.
Combien de fois j’ai rencontré des patients qui aboutissaient à la » clinique de la douleur »sans diagnostique précis et avec des remèdes uniquement sédatifs.
Résultat, des vies ruinées, des guérisons manquées et des échecs thérapeutiques cuisants.
Les analyses variées, les technologies les plus avancées ne remplaceront jamais un bon interrogatoire et un examen clinique méticuleux.
La conscience du médecin peut et doit établir une relation privilégiée avec celle du patient.
Toute maladie physique ou mentale a une cause, une origine et si le patient n’en n’a pas connaissance, c’est bien l’art du médecin qui doit permettre la découverte des causes profondes de la maladie.
La Sophrologie est une science qui étudie l’harmonie de la conscience, elle devrait être enseignée à tous les médecins et tous les soignants dans tous les hôpitaux et dans toutes les cliniques.
Notre âme, notre conscience habite notre corps et possède un pouvoir de guérison incontestable.
Jacques