» Le vent « 

Bonjour,

Encore un poème écrit en janvier 1990, enfermé dans la maison pendant une grosse tempête.

Le vent souffle en rafales, le vent souffle en furie,

Force phénoménale, qui vient de l’infini,

Balaie tout sur son passage, renverse les plus fragiles,

Et purifie d’un coup, les campagnes et les villes.

Le vent souffle et gémit, et sans cesse se plaint,

De chaque difficulté, qui détourne son chemin,

Il s’infiltre partout, si on lui donne chance,

Et dans un grand courroux, il sème sa violence.

Le vent souffle en rafales, le vent souffle en furie,

Et le long du chemin, lève la poudrerie,

Se mêle à la tempête, et à tous ses flocons,

Pour donner çà et là, des accumulations !

Jacques

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