Temps de compréhension !

Bonjour,

À l’approche de ma dixième décade, je viens seulement de comprendre les mots de ma défunte mère :  » Sois sage ! « .

Surement pas, je n’avais qu’un but, m’amuser, jouer, rire faire des bêtises, courrir dans le jardin, aller voir les poules et les lapins au fond du jardin qui était trés grand pour mes petites jambes, je profitais de la Vie à 100 % et mes oreilles entendaient comme un refrain :  » Sois sage !  » et ça rentrait par une oreille et sortait rapidement par l’autre pour continuer à faire des bêtises.

Évidemment à cette époque, je n’avais pas compris que j’avais une maman visionnaire, et maintenant je saisis les mots que mon jeune âge ne pouvaient pas comprendre. Ma grand-mère et mon grand-père chez qui nous habitions me regardaient aller avec un sourire complice, alors pour leur faire plaisir, je faisais des bêtises !

Du haut du ciel Maman doit sourire en se disant qu’elle avait bien raison de me donner ces bons conseils que je commence à peine à mettre en pratique, oui, je suis devenu sage même s’il m’arrive encore de faire des petites bêtises, simplement parce que cela m’amuse encore. Il faut faire des bêtises pour vieillir moins vite et je serais vieux, après ma mort et je ne ferais plus de bêtises, quoique ? J’ai entendu dire que des personnes décèdées jouaient des tours à celles restées, hum, intéressant !

La Vie est belle, un film que je conseille à tous, parce que réussir à faire rire des camps de concentrations nazis, Roberto Benigni, en 1997 a réussi cet exploit. J’ai adoré ce film parce que je m’y suis retrouvé.

Je suis devenu sage ( un peu seulement ) et je fais faire les bêtises par mon enfant intérieur et mon apparence extérieure ne peut me faire accuser des méfaits de mon tendre alter égo, j’ai eu tellement de peine à croiser des personnes sans sourires et sans ironie qui ne comprenaient pas ma vision de la Vie. Heureusement, la Vie elle, m’a bien accompagné et m’accompagne encore et quand je fais une bêtise, personne ne va penser que l’idée a germé sous mes cheveux couleur argentée, car contrairement aux autres personnes, je n’ai pas de cheveux blancs, çà c’est pour les vieux ou les vieilles personnes.

J’ai donc compris que Maman me voyait devenir sage et qu’elle a attendu de longues années pour enfin remarquer que ses instructions se réalisaient, juste avant sa mort.

Maintenant que je suis devenu sage en apparence, mon complice intérieur me régale de ses fantaisies et de ses idées saugrenues et nous rions ensemble, discrètement car il y a encore des personnes qui ne connaissent pas leur enfant intérieur, cette âme d’enfant qui est simplement l’âme qui ne vieillit jamais et qui m’emportera dans un sourire au jour choisi, encore lointain.

Voilà !

Jacques

MÉTÉO

Bonjour,

Voilà que l’hiver est arrivé, on l’attendait et depuis quelques années les rumeurs s’accumulaient, pas la neige  » Oh, c’est le réchauffement climatique !  » On en parle beaucoup, or personne ne fait rien ou si peux. Et bien voilà, l’hiver vient de nous tomber dessus et pas n’importe comment!

D’abord un peu de neige et de la pluie pour la faire fondre, deux à trois épisodes, quand soudain la neige est arrivée, un beau tapis blanc, 5 à 10 cm, puis un peu de soleil et une autre journée encore quelques centimètres, beau paysage, température agréable, soleil et encore un peu de neige, tout allait bien jusque là . . .

Hier, la neige revient tombe doucement en s’accumulant pour le bonheur des enfants et des déneigeurs, c’est l’hiver, c’est l’hiver, parfait. Or un bon matin la neige s’arrête et le thermomètre dégringole, une chute radicale jusqu’à moins 19 degrés et moins 29 en température ressentie !

On l’a demandé l’hiver, notre bel hiver si agréable et là ma voiture qui se croit intelligente me demande d’ajuster la pression des pneus ( vive la technologie ) en fait il fait froid, il fait très froid et si je gonfle mes pneus dès le premier redoux, ils vont exploser ! L’intelligence artificielle ne connait pas la neige, planquée dans des ordinateurs surchauffés et énérgitivores ! Voilà ce qui pourrait aider à garder une température normale, tous ces milliards de milliards d’ordinateurs nécessaires pour miner de la monnaie virtuelle qui n’existe pas, pour alimenter des réseaux  » dits  » sociaux, toutes ces personnes qui marchent qui mangent et qui dorment avec leur téléphone, lui aussi  » dit  » intelligent.

Certains humains marchent sur la tête quand ils ont encore une tête. ils ne voient pas la folie de la technologie, l’appât du gain, de l’argent, du pouvoir, de la politique ( QUI EST DE MOINS EN MOINS POLIE ), heureusement que la météorologie nous rappelle à l’ordre, feux intenses, froids extrêmes, fonte des glaciers !

Mais ou sont donc les neiges d’antan ?

Pensez-y bien,

Jacques

Le voyage de l’âme dans le corps humain

Bonjour,

Un sujet merveilleux, sachant bien que des lecteurs, encore sur le chemin, vont sourire ou au contraire bondir hors de leurs gonds et cela ne sera que leur problème. Je respecte autant les croyants que les non croyants qui ont pour excuse d’être un peu à la traîne. En effet, il est impossible de croire une chose ou un fait si nous ne sommes pas dans l’optique de l’évolution qui est à la disposition de tous.

Ceci étant dit, je reprends le sujet de ce jour avec les connaissances que j’ai engrangées, moissonnées ou découvertes tout au long de ma vie bien riche en expériences de toutes sortes. L’âme est la partie non matérielle qui anime le corps humain, donc matériel, pour ceux qui doutent ils auront leur réponse juste avant leur dernier souffle.

Prenons pour notre exemple UNE âme située dans le pays des âmes peu importe sa localisation. Cette âme sent le besoin ou le désir de se réincarner et pour cela elle va choisir un couple d’humains qui souhaite avoir des enfants. Ce choix va être conditionné par la mission souhaitée par l’âme, elle va surveiller l’évolution de ce couple choisi et au moment opportun elle s’incorporera dans ce nouveau bébé en gestation, elle vivra la grossesse de l’intérieur en s’imprégnant du bébé, de ses parents et des évènements extérieurs et sa mémoire commencera à s’activer ( ce que je peux confirmer par des récits qui m’ont été confiés )

Au cours de la naissance, traumatisme le plus important de toute vie, elle va occulter une partie de ses mémoires d’âme immatérielle, pour repartir à zéro.

Aussitôt sa mémoire se remet en marche et commence une nouvelle vie humaine.

Je vous passe touts les détails de la croissance, des apprentissages de la vie humaine en oubliant ses origines. L’Évolution de l’Être humain apporte à l’âme l’opportunité de vivre des conditions et des situations diverses et variées pour expérimenter la Vie dans le matériel. Dans ce parcours, des mémoires anciennes vont rejaillir et éclairer ainsi ceux et celles qui seront réceptifs en découvrant ainsi leur origine. ( petite parenthèse historique : les colonisateurs anglais en arrivant en Australie ont nommé  » aborigènes  » les habitants de ce continent, ce qui signifie – sans origine ! ).

Vers la fin de sa vie terrestre, cette âme va retrouver des souvenirs de ses origines et va donc choisir de quitter ce plan par le biais de la mort physique, qui pour beaucoup est la FIN de tout, alors qu’il ne s’agit que d’un passage, parfois très sage et parfois, pas sage du tout.

Le début et la fin de la Vie terrestre sont UNE expérience choisie par l’Âme.

On s’en reparlera si nous nous retrouvons dans l’au-delà.

Jacques

Les sentiers du Grâal

Bonjour,

Sous le regard bienveillant, du hibou un peu méfiant,

Je pénètre assez confiant, dans ce bois et ses tourments,

Je m’avance prudemment, parmi ces obstacles et ces pièges,

Que j’observe attentivement, et que pour une fois j’assiège.

Et, débarrassé du chien, qui cachait le forgeron,

Je prends au creux de ma main, la clé de cette prison,

N’écoutant que mon courage, auprès de l’homme sans visage,

J’accepte de tourner la page, de modifier mon image.

Je traverse le fleuve noir, par les soins du nautonnier,

Et je vois briller l’espoir, de pouvoir me retrouver,

De cet arbre lumineux, qui me cache la forêt,

Vite je détourne les yeux, pour ne pas m’y arrêter.

Et le cerf majestueux, au panache merveilleux,

Du château aussi précieux, vient pour m’indiquer le lieu,

C’est alors que le miroir, me retournant mon reflet,

Pour une fois me fait voir, que c’est moi que je cherchais.

Je reçois du Roi-pêcheur, cette belle pierre verte,

Qui pourra guérir mon coeur, et m’arrêter dans ma perte,

Et pour avoir tant marché, me voici récompensé,

Après avoir tant cherché, j’ai trouvé la liberté.

Je me suis forgé la clé, pour me désemprisonner,

De l’illusion insensée, qui masquait la VÉRITÉ !

Jacques

Lettre à un homme blanc

Bonjour,

En faisant du ménage, eh oui, j’ai trouvé une feuille, une photocopie délavée d’un article qui m’avait fait sourire, je vous le livre en précisant que ce n’est pas moi l’auteur.

  • Lorsque je nais, je suis noir.
  • Lorsque je grandis, je suis noir.
  • Lorsque je suis malade, je suis noir.
  • Lorsque j’ai froid, je suis noir.
  • Lorsque j’ai peur, je suis noir.
  • Je vais au soleil, je suis noir.
  • Et lorsque je meurs, je suis et je reste noir . . .
  • Toi, homme blanc, quand tu nais, tu es rose.
  • Quand tu grandis, tu es pêche.
  • Quand tu es malade, tu es vert.
  • Quand tu as froid, tu es bleu.
  • Quand tu as peur, tu es blanc.
  • Quand tu vas au soleil, tu es rouge.
  • Et quand tu meurs, tu es mauve.
  • Et tu oses me traiter d’homme de couleur . . .

Merci pour l’auteur(e) inconnu(e)

Jacques

À TOI FEMME !

BONJOUR,

Toi, tu es tout pour moi, la mère offrant son ventre,

La femme offrant son toit, préparant ma naissance,

Au fond de tes entrailles, s’est niché mon essence,

Et de mes épousailles, c’est toi qui est le centre.

Mes premières amours, et mes premiers combats,

C’est tout au fond de toi, que cela se passa,

Et dans le réconfort, de ta douce chaleur,

Je faisais de ton corps, le lit de mon bonheur.

Luttant pour me garder, et moi pour m’en aller,

Tu mettais tout en oeuvre, pour pouvoir accoucher,

Et quand ce fut mon heure, d’enfin me décrocher,

Tu as ouvert ton coeur, tu t’es laissée aller.

Sitôt quitté ton ventre, j’ai rencontré ta peau,

Sur la mienne j’ai senti, l’air de ton souffle chaud,

Pendant que le cordon, qui encore nous liait,

Assurait ma survie, car il me nourrissait.

Puis comme une madonne, qui ne refuse rien,

Voilà que tu me donnes, la pointe de ton sein,

Et tu donnes de ta vie, pour assurer la mienne,

Et ce lait que tu fis, fût un bonheur suprême.

D’une main bienveillante, tu guides mes premiers pas,

Une douceur acceuillante, quand tu ouvres tes bras,

Et toute mon enfance, passée auprès de toi,

Comme mon adolescence, cela ne s’oublie pas.

Puis tu deviens la femme, sujet de mon désir,

Je te déclare ma flamme, l’envie de nous unir,

De créer un foyer, pour encore répéter,

Cette si belle histoire, qui nous a enfantés.

À ton tour tu seras, la mère de nos enfants,

Tu prendras dans tes bras, ces visages souriants,

Tu les élèveras, leur donnant plein d’amour,

Et tu les lâcheras, pour qu’ils t’aiment toujours.

Au soir de notre vie, tu deviens ma compagne,

Allumant la bougie, le soir à la campagne,

Tu veilles sur mon départ, avec la même douceur,

Que malgré le cafard, tu gardes dans ton coeur.

Le 4 JANVIER 1992

Jacques

Le test des trois passoires

Bonjour,

Socrate, avait dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse. Quelqu’un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit :

 » Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ? – Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j’aimerais te faire passer un test, celui des trois passoires.

Les trois passoires ? – Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’on aimerait dire. C’est ce que j’appelle le test des trois passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ? – Non. J’en ai seulement entendu parler. . . -Trés bien. Tu ne sais donc pas si c’est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien ? – Ah non ! Au contraire. – Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es même pas certains si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il rete une passoire, celle de l’utilité. Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ? – Non, pas vraiment. – Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me racontern’est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ? « 

Pensez-y bien,

Jacques

ÉCRIRE !

Bonjour,

Pour ce premier jour de l’année 2025, Je vous offre ce petit poème ainsi que tous mes voeux pour les 365 jours à venir !

Prendre la plume,

Une feuille de papier,

Laisser les doigts,

Tracer sur la page blanche,

Les lettres et les mots,

Les idées et les phrases,

Qui coulent de mes pensées,

Se bousculent et se pressent,

Afin d’être exprimées.

Décrire une vision,

Dépeindre une émotion,

Ou choisir ce moyen,

Pour pouvoir à loisir,

Partager une sensation,

C’est comme une musique,

Ou comme un instrument,

Ces mots qui se fabriquent,

Comme souffle le vent !

11 Octobre 1991

Jacques

Le jour se lève

Bonjour,

Le soleil radieux pointe à l’horizon ; après une longue nuit, le jour se lève, et dans le ciel bleu un petit nuage se pare des couleurs du soleil levant pour laisser éclater sa joie.

Dans la noirceur de la nuit sans lune, le petit nuage paraissait bien isolé, mais là, resplendissant de jaune et de rose sur le fond de ciel bleu, il devient important, on le regarde, on ne voit que lui, comme il n’est pas effrayant, on le flatte, on l’apprécie, on lui sourit, et il est heureux !

L’arrivée des chauds rayons du soleil le fait briller au point d’éclipser le bleu du ciel, mais il reste ce petit nuage tranquille bercé par le murmure du vent dans les feuilles des arbres.

Toujours présent et inaccessible, à l’abri du stress et des maléfices de l’homme, c’est peut-être cela que l’on appelle le PARADIS !

Jacques 28 Janvier 1988

Le SOMMEIL

Bonjour,

Nous pouvons identifier six phases importantes dans le sommeil :

1- L’endormissement qui peut varier de 5 à 20 minutes ( voir mon article sur La désidentification qui permet de rendre cette phase plus courte ).

2- Le sommeil léger, lent, superficiel lorsque l’activité cérébrale diminue ainsi que l’activité respiratoire et cardiaque.

3-Le sommeil moyen, lent, profond propice à la récupération mentale, les yeux sont calmes et nous sommes coupés de l’extérieur.

4-Le sommmeil profond qui dure de 2 à 4 cycles pendant lesquels se fait une réparation cellulaire des tissus.

5-Le sommeil trés profond, temps de croissance et régénération pour remplir nos réserves énergétiques.

6-Le sommeil paradoxal ou apparaissent les rêves et la récupération mentale.

Bien sur toutes ces phases ont des durées variables et se répètent au cours de la nuit.

Bon dodo !

Jacques