Bonjour,
» Ce n’est pas la valeur du cadeau qui compte, c’est l’intention ! »
Cette petite phrase met en lumière un facteur très important et souvent considéré comme secondaire.
J’ai lu récemment à propos de l’effet placebo ( du verbe latin qui signifie : plaire ), que l’intention avait le pouvoir de déclencher dans le cerveau la production d’endorphines, qui sont des hormones comparables à la morphine et qui sont secrétées par le cerveau lui-même ; c’est donc « bio » et non « chimique »…
Les recherches de plus en plus « pointues » au niveau scientifique démontrent que des réactions chimiques se produisent réellement dans le cerveau pour produire ces hormones, ce qui est donc un processus naturel efficace.
Si à cet aspect physico-chimique on ajoute l’effet « psychologique » crée par celui qui propose le remède à un problème et la satisfaction de celui qui reçoit le comprimé ou le traitement ( ce qui va encore déclencher une nouvelle sécrétion d’endorphines ), nous constatons que le cerveau aura fourni trois doses d’endorphines pour répondre à la demande, ce qui est très bien !
Si l’une ou les deux personnes impliquées sont critiques ou négatives, il y aura deux tiers de la dose qui ne seront pas sécrétés.(60 %)
De la même façon, un cadeau offert à contrecœur ou accepté de façon négative ne sera agréable pour personne.
Si vous faites une action sans avoir une intention à 100 %, les résultats seront faibles…
Quoi que vous fassiez, assurez vous d’être impliqués à 100 % au niveau de votre intention et vous obtiendrez alors des résultats surprenants !
Je le pratique,,,
Jacques